Mexique - Partie 3

TROISIEME PARTIE : SUR LA ROUTE DES CIVILISATIONS

0axaca du 24 au 26 novembre

   Encore une arrivée matinale et dans le froid à 6h45. Nous voilà à nouveau seuls(snif!) à chercher un hostal. Nous nous étions habitués à notre vie et à notre « famille » à Mexico, il va falloir reprendre nos habitudes de voyageurs solitaires: recherche d’un hôtel à bas prix, d’office de tourisme, de bons plans pas chers, de « pardon, pouvez-vous nous dire où nous sommes, quel bus devons-nous prendre pour aller à tel endroit… » , et de lessive à la main (eh oui nous avons encore fauté en utilisant la machine à laver de la famille, mais nos chaussures et nos chaussettes en avaient vraiment besoin, nous ne rentrerons pas dans les détails. A peine les sacs posés à l’hostal, nous voilà à l’assaut d’un site Zapotecos: Monte Alban construit sur le haut d’une colline dont-ils ont rasé la cime pour y implanter toute une ville.

   Nous nous étions promis de ne succomber à aucun achat dans cette ville, hum hum… c’est quand même pas de notre faute s’ils ont autant de belles choses (poterie en céramique noire, artisanat de bois… tout cela spécifique à la région, et Vincent adore ce qui est spécifique…) nos sacs ressentent à la fin de ces 3 jours un léger surpoids! Nous ne voulons pas trouver de balance pour ne pas nous faire peur! Pendant ces 3 jours, nous avons pris le temps de visiter un autre site Zapotecos: Mitla, caractérisé par des frises uniques sur ses murs, ainsi que 2 tombes ouvertes au public. Nous avons également eu l’opportunité d’aller voir « El Tule », l’arbre le plus gros du monde avec ses 14 mètres de diamètre et plus de 2000 an d’âge.

   Nous avons encore craqué deux fois dans une pâtisserie française, mais les pains au chocolat et les chaussons aux pommes n’étaient pas aussi bons qu’en France, on est vraiment le pays de la gastronomie! Mais à vrai dire les mexicains ne sont pas loin derrière, c’est un vrai régal ici! La seule chose à ne pas oublier, c’est de demander s’il y a de la cannelle dans les chocolats chauds, les thés, et les pâtisseries, car ils en mettent de partout, ce qui fait le régal de Vincent mais pas le mien (un jour il s’est quand même enfilé deux grands chocolats chauds car on ne savait pas qu’ils y mettaient de la cannelle!), ou encore toujours penser à demander ce qu’ils mettent dans les sandwichs, car d’une région à l’autre, ça change: piment, mole (préparation salée à base de chocolat).

26/11: pour ma fête, j’ai droit à 12 heures de car de nuit…et une robe et des tongs pour le plaisir des yeux de mon chéri J. Bonne nuit, et à demain à San Cristobal de Las Casas (enfin bonne nuit, tout est relatif, tout dépend de l‘état du car et de la route car en arrivant ici c‘était pas le top, quasiment rien dormi).

San Cristobal de Las Casas du 27 au 28 novembre

   Petite ville tranquille remplie d’indien descendants directs des mayas. Un petit tour au marché histoire de se faire à manger à l’hostal, les ambiances dans les marchés sont vraiment sympathique et on y trouve vraiment de tout, et on arrive à s’y perdre tellement c’est grand!
Un autre petit tour dans un village indien, avec une église très typique, remplie de bougies et d’encens brulant par terre devant les indiens assis à même le sol, priant dans leur dialecte, à voir au moins une fois.
Puis un grand tour dans les ruines de Tonina à environ 3 heures d’ici. Ruines magnifiques, peu de touristes en ce moment, super pour prendre de belles photos. Nous vous laissons apprécier la taille des marches pour monter en haut de la pyramide, on est obligé de monter de biais, quasiment à 4 pattes, idem pour redescendre, c’est assez impressionnant. Delphine ne se sentait pas en sécurité, la moitié des marches n’étant plus scellées, j’ai quand même réussi à la convaincre de monter.

Palenque, le 29 novembre

   Aujourd’hui, journée marathon: levés à 5h00 pour le car de 6h30. Arrivés à Palenque à 12h00. Recherche d’un cybercafé pour pouvoir voir Mélina. Arrivés aux ruines de Palenque à 13h00. Visite du site sous un soleil de plomb (eh oui, nous sommes passés de 2100 à 80 mètres d’altitude) mais ne nous plaignons pas, il fait froid en France! Vivement dans quelques jours qu’on pique une tête à Cancun… ah la belle vie… Après une visite de 3h30, nous rentrons en ville car nos ventres commencent à grogner, ils ont faim! Ca y est, on a pris les habitudes des mexicains: 1 Petit déjeuner et 1 repas dans la journée. Puis retour à la gare routière afin d’attendre désespérément le car pour Mérida qui part à 22h00 (rien ne sert d‘essayer de se balader dans la ville, il n‘y a rien à voir et à faire), pour une autre nuit de 8h dans un car. On a transpiré tout ce qu’on pouvait toute la journée, la nuit s’annonce collante! Nous avons le temps de trier et renommer toutes nos photos de la journée. Vive le numérique, on vous laisse imaginer le nombre de photos prises… Ah le temps des 24 poses est loin!
   Les ruines étaient superbes, avec le temps que nous avons passé là bas, vous devez vous en douter! Le site entier fait plus de 15 km2, au milieu de la jungle, et super bien conservé, mais seule une petite zone a été découverte. Nous avons de la chance d’être en hors saison touristique. Nous avons pu prendre de meilleures photos que les cartes postales, n’ayant presque personne sur le site! Nous n’imaginons même pas ce que doit être une visite en pleine été, sous la chaleur, l’humidité de la jungle et les milliers de touristes…

Mérida du 30 novembre au 1 décembre

   Nous sommes arrivés à Mérida à 5h30 du matin, après une nuit chaotique dans un bus très inconfortable, décidément plus on descend vers le sud, et plus il faut éviter de voyager de nuit. Ce fut le pire bus que nous ayons pris jusqu’à maintenant. Il faut croire que les chauffeurs ont leur permis dans une boite à chaussure, à part freiner, accélérer, freiner, accélérer, freiner toutes les 5 minutes, ils ne savent rien faire d’autre! En plus la télé en route jusqu’à 1h30 du matin avec le son super fort, ça fait mal! Donc nous sommes arrivés une fois de plus complètement nazes. Delphine part à la recherche d’infos à la gare routière d’en face pour notre prochain départ, puis finalement revient en ayant trouvé un hôtel juste à coté, ce qui tombe très bien comme ça nous n’aurons pas à poser nos sacs dans des consignes. Ca nous permettra juste avant de partir pour le site archéologique Uxmal de faire toute notre lessive.
Uxmal, un des sites les plus chers avec Chichen Itza, connu pour être l’un des plus beaux…nous avons été déçus, nous ne pouvions pas accéder à tous les bâtiments, et nous avons trouvé que Palenque avait beaucoup plus de caractère. La grande pyramide était très belle, mais est désormais fermée au public, ce qui est dommage, nous serions bien monté au sommet. Et finalement, la zone ouverte au public est assez petite en comparaison avec d’autres ruines. Je trouve que cela reste des ruines à voir, les sculptures sur les bâtiments sont impressionnantes. Mais Delphine pense le contraire, selon elle, les autres ruines telles que Palenque ou encore Tonina sont beaucoup plus impressionnantes, Uxmal ne vaut pas le détour. Plus d’informations sur ce site nous auraient peut-être permis de mieux l’apprécier, or, à part payer des guides hors de prix, il n’y a sur place aucun complément d’information.
   De retour à Mérida, nous allons manger dans un petit restaurant qui nous aura beaucoup déplu, nous allons finir notre repas dans un fast food du coin.

   Nous nous couchons de bonne heure car nous avons prévu d’aller voir Chichen Itza assez tôt (une des 7 nouvelles merveilles du monde).

    Milieu de la nuit: réveil en sursaut de Delphine, qui est malade. Je comprends rapidement que nous allons devoir décaler notre visite de Chichen Itza. Apparemment une intoxication alimentaire du resto de la veille, certainement quelque chose de pas très frais a rendu Delphine dans un état lamentable, elle restera couchée toute la journée...

   Le lendemain, nous allons tant bien que mal à Chichen Itza, avec nos sacs à dos, espérant trouver un hôtel sur place. Mais finalement en arrivant, nous posons nos sacs dans une consigne gratuite, avant de se jeter sur les ruines, avec plus de monde qu’à l’accoutumée, mais bon c’est quand même une merveille du monde. Ces ruines valent le détour, bien que ce soit dommage de ne plus pouvoir accéder aux ruines, la pyramide était auparavant accessible dessus et dessous, pas de chance! Nous sommes restés 3 heures à admirer ce site, surtout subjugués par le jeu de pelote géant, le plus grand de tout Mésoamérique.

Cancun, île de las Mujeres du 3 au 6 décembre

   Nous décidons finalement d’aller directement à Cancun, où nous trouverons un petit hôtel sympathique pour une nuit, grâce à un monsieur commissionné certainement pour cela posté à la sortie de la gare routière. Nous passerons une nuit assez agitée, avec de la musique sortant de tous les bars/boites environnants…
   Le matin nous hésitons entre les plages de Cancun ou aller directement sur l’ile de las Mujeres à quelques kilomètres de là, ile sur laquelle les plages sont plus réputées qu’à Cancun. Nous décidons d’aller sur l’ile, où nous arriverons vers 16h00.  A la recherche d’un hôtel, comme d’habitude, nous avons la chance de tomber sur une chambre  pas très chère avec salle de bain à partager avec une autre chambre, c’est toujours mieux que le dortoir de 12 que nous avions trouvé juste avant, surtout quand on est malade!
   Petit tour dans la ville et sur les plages, histoire de voir un peu ce qui nous attend. On ne sera pas déçu, plage de sable très fin, eau turquoise de la Mer Caraïbe, soleil, cocotiers, cocktails et lits sur la plage, même les bars s’y mettent avec des balançoires et de hamacs. Bref, tout ce qu’il faut pour faire les parfaits touristes, ce qui nous ira bien  pour quelques jours, histoire d’oublier un peu toutes ces ruines!
   Le lendemain, petit tour de l’île en vélo, nous avons vu en chemin 2 sites à touristes: l’un pour nager avec les dauphins, et l’autre dans le même style, petit parc avec tyrolienne, jacuzzi, plongée avec tuba…prix très excessif pour ce que c’est. Nous finirons notre tour tranquillement, quelques heures de vélo pour finir à la plage du Nord, la plus belle de l’île. Le seul point négatif, c’est qu’étant donné la petite taille de l’île, toutes les plages sont jonchées d’hôtels et de bars, ne laissant pas des plages suffisamment grandes à notre goût. Mais ça ne gâche en aucun cas la beauté du site.

   Un dernier jour sur l’île pour aller nager avec les poissons, ça faisait longtemps, c’était magnifique! Nous sommes allés voir un centre de sauvetage des tortues, l’île étant un lieu de ponte de tortues géantes en voie de disparition, ils recueillent les œufs pour les sauvegarder. Vincent a failli perdre un doigt à force de faire l’imbécile avec les grosses tortues affamées!
   Nous avons fait la connaissance de 3 français qui nous ont offert un verre le soir même dans un sympathique bar sur la plage. Nous leur rendrons le lendemain à Playa del Carmen lors d’une sortie en discothèque.

   Il est samedi, grand temps de reprendre la route pour voir de plus belles plages: direction Playa del Carmen.

Playa del Carmen du 6 au 8 décembre

   Après vérification, les plages sont en effet encore plus belles, et cette fois-ci, elles s’étendent sur plusieurs kilomètres, et ne sont pas loin de la perfection.
   Nous retrouvons nos compères de la veille pour partager quelques verres et pour danser pieds nus en boite sur du sable fin, entourés de palmiers et d’un sapin de Noël, le tout sous un ciel étoilé, et une température estivale, que demander de plus! En tout cas, on s’en souviendra, c’est pas tous les jours qu’on danse sur du sable fin en plein mois de décembre!
   Un réveil en douceur le lendemain pour une journée cool à la plage, où Vincent se sera éclaté à faire un château… euh, non une pyramide de sable! Pays Maya oblige, ici pas de château fort! Sinon ça y est, on commence à prendre de bonnes couleurs, faudrait pas qu’on revienne en France tout blanc!

Tulum du 8 au 9 décembre

   Il est lundi matin, nous partons à la recherche d’une poste pour envoyer nos cartes, pas de chance, elle n’ouvre pas avant 9h00 et nous étions censés partir plus tôt pour Tulum, afin de pouvoir profiter de ses ruines et de ses plages. Finalement, nous privilégions la Poste et prenons le car suivant, qui nous coutera moins cher que prévu, car c‘est une autre compagnie, et bizarrement quand on demande les prix, ils ne nous donne pas les moins chers... 
   A l’arrivée nous trouvons un hostal tout compris: petit déjeuner, bus pour aller à la plage, le top quoi! D’ailleurs nous profiterons directement de ce bus pour aller voir les ruines d’une ancienne cité Maya au bord de la mer, puis de finir la journée à la plage.


    Plage qui n’est pas mal du tout, encore mieux qu’à Playa del Carmen, seul bémol ce jour là des milliers de petits poissons ont décidé de finir leur vie on ne sait pas pourquoi au bord de la plage ainsi que dans les courants dans lesquels on se baignait, ce qui a vite raccourci notre baignade! Enfin pour Delphine, car pour moi, j’y suis retourné pour faire un peu de plongée en apnée dans la deuxième barrière de corail du monde! Oups, j’avais oublié de prévenir Delphine que je nagerai un peu au large, ce qui a valu une demi-heure d’angoisse très longue pour ma chérie…Je la préviendrai la prochaine fois quand je nagerai un peu loin, promis. Sinon, ce coté là doit être beaucoup moins touristique, du coup aucun hôtel en vue depuis la plage, c’est assez agréable de voir qu’il existe encore quelques plages plus sauvages. Bon, on s’est quand même fait avoir , morts de faim on décide d’aller manger dans un petit resto à coté de la plage et recommandé par notre guide…mal nous en a pris, nous passons commande, la serveuse reviendra toutes les 5 minutes pour nous dire qu’ils n’ont plus ce que nous voulons, au bout de X changements, nous finirons par manger à 2 une assiette de frites, ils n’ont même pas de quoi faire un autre plat…donc nous finirons la journée presque affamés. Le soir on se jettera sur le premier magasin de fruits et légumes pour se faire à manger (car il y a aussi une cuisine à l’hostal), qu’est-ce que ça fait du bien de pouvoir cuisiner de temps en temps!
   Nous finissons la journée en beauté avec une petite heure de cours de salsa organisé par l’hostal, on vous fera une démo plus tard!

   Le lendemain, nous partons pour Coba, un autre site Maya qui se trouve au milieu de la jungle. Au bout de 2 heures de marche, nous arrivons enfin devant la majestueuse pyramide, la plus haute de la péninsule du Yucatan (42 mètres). Seul Vincent s’aventure en haut de la pyramide, je laisser mes genoux se reposer de toutes les pyramides déjà faites.
   A la sortie, nous nous dirigeons vers les Cenotes de Coba, qui sont des cavités naturelles souterraines remplies d’eau douce transparente provenant des rivières souterraines. Nous irons en voir 3, magnifiques! Nous avons pu nous baigner dans ces eaux un peu fraiche, à environ 25°C…eh oui, nous devenons mexicains, on s’habitue à des eaux chaudes, enfin à vrai dire, nous étions super bien dans l’eau. Pour une fois, j’ai réussi à trouver un truc que Vincent n’arrive pas à faire! J’ai essayé de lui apprendre à faire l’étoile de mer dans l’eau: le résultat est lamentable…(on aurait plutôt dit une bouse de mer qui coule!). Enfin on aura bien ri.


    Demain, direction notre dernier arrêt au Mexique. Petit arrêt pour peaufiner notre prochain départ au Bélize.

   Le lendemain matin, suite à un coucher à 2 heures du matin après avoir refait le monde avec 2 confrères « tourdumondistes» (un suisse et un français), Delphine s’occupe des billets de car pendant que je prépare le petit-déjeuner en quatrième vitesse : pas beaucoup de temps et beaucoup de monde à la cuisine commune de l’hostal, quelques toasts et œufs brouillés, un peu de sirop d’érable et nous voilà un quart d’heure plus tard dans le car, déjà à moitié en sueur de notre course folle du matin…Je jette un coup d’œil sur mon bras gauche que je sens chaud et qui commence à me démanger et quoi… Environ 50 piqures de moustiques ou je ne sais de quel autre bête du coin, et je n’exagère pas! Comment ça s’est passé, Delphine et moi cherchons encore, mais tout ce que je peux vous dire, c’est que j’ai des boutons jusque dans le dos, et tout ça en moins d’un quart d’heure.
   En route pour Chetumal, nous nous demandons si nous restons pour la nuit là-bas ou si nous prenons tout de suite le car pour Belize, mais à la vue de la ville nous n’avons plus d’hésitation, le car pour Belize sera parfait. Juste le temps d’une course folle en ville à la recherche d’une librairie dans l’espoir de trouver un guide sur l’Amérique centrale (que nous ne trouverons pas!) et le car pour Belize se pointe.
   Nous passons la douane mexicaine, le douanier demande 100 pesos par personne au couple nous précédant, nous sortons nous aussi l’argent, mais miracle, il ne nous demande rien! Nous avions vu sur des forums internet que certains douaniers demandaient cette somme mais que normalement il n’y a aucune taxe à payer. Nous avons eu de la chance qu’il ne nous demande rien.
Après quasi 2 mois au Mexique, l’idée de changer de pays nous parait étrange, nous nous étions habitués à la vie mexicaine et à ce si joli pays…


    Pour finir notre périple au Mexique, voici quelques impressions :

• La nourriture : tacos, burritos, enchiladas, tortillas, tortas, nopal, mezcal, fruits exotiques, bref on s’est vraiment fait plaisir!

• Les mexicains, très gentils, accueillants, toujours présents pour nous donner un coup de main. Juste un petit bémol pour la région Yucatan, la plus touristique avec la route des mayas, Cancun et la côte, où nous n’avons pas eu un accueil à la hauteur du reste du pays : froids, moins polis, bref trop de touristes.
• Le commerce, nous avons appris à négocier, et nous avons pas aimé du tout la région du Yucatan où les locaux nous prenait vraiment pour des pigeons ; exemple type de phrase :  « vous n’êtes pas des américains, pour les français c’est pas cher! » mais juste trois fois le prix du reste du pays. Pas le temps de dire « non, trop cher pour nous » que le prix était déjà diminué de deux fois. Une exagération fort déplaisante.

• La conduite, mieux vaut ne pas être piéton, car nous n’avons pas la priorité. La plupart des mexicains qui conduisent n’ont pas le permis de conduire, et on a l’impression qu’ils oublient ce que c’est que d’être piéton…Du coup ça prend parfois plusieurs minutes pour traverser les routes, les passages piétons n’étant en plus pas toujours présents…

• La culture: énormément de choses à voir et à savoir, une culture et des traditions très présentes, telles que les « callejoneadas » (fêtes dans la rue) ou encore les traditions vestimentaires avec les santiags et les sombreros. Tout cela en  fait un pays très intéressant et enrichissant.

• Le paysage: des champs de cactus à perte de vue, des montagnes, des canyons, des plages de sable fin, des ruines au milieu de la jungle.

• Les villes: plusieurs sont classées patrimoine de l’humanité, et on comprend vite pourquoi.

ON A ADORE LE MEXIQUE : VIVA MEXICO !