14 avril 2009
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16:54
Andes
Je m’assois et je contemple ce blanc
Eternel, inaccessible d’où je suis.
Je reste muet en le regardant,
Depuis le banc où je me suis assis.
Le blanc change lentement à l’approche
De la nuit, laissant alors apparaître
Un rose, qui quelques minutes s’accroche
Sur les pents de cette cime discrète.
Fatigué d’une marche presque sans
Fin, je ferme les yeux sur une image
Qui me parait être encore un mirage,
Et ne peux contenir mon cœur haletant.
2/04/09 Vince
Nous marchons vers l’inconnu, et à chaque
Intersection notre regard se porte
Avec attention sur ce nouveau lac...
Et sur ce long sentier nos cœurs s’emportent.
Plainte
Ne pleure pas tant sur ton triste sort.
Ouvre ta porte, et regarde dehors
Toutes les choses qui t’entourent, et pleure
De ne pas avoir ouvert les yeux plus
Tôt, de penser encore au superflu.
Vois! La misère touche ta demeure.
Tu as tout, et eux n’ont quasiment rien.
Tu les regardes comme si c’était
Des chiens. Vomis ton bonheur un matin,
Qu’ils tendent leurs mains pour en profiter.
Alors peut-être te tairas-tu et
Cesseras-tu de te croire opprimé.
2/04/09 Vince
Je m’assois et je contemple ce blanc
Eternel, inaccessible d’où je suis.
Je reste muet en le regardant,
Depuis le banc où je me suis assis.
Le blanc change lentement à l’approche
De la nuit, laissant alors apparaître
Un rose, qui quelques minutes s’accroche
Sur les pents de cette cime discrète.
Fatigué d’une marche presque sans
Fin, je ferme les yeux sur une image
Qui me parait être encore un mirage,
Et ne peux contenir mon cœur haletant.
2/04/09 Vince
Nous marchons vers l’inconnu, et à chaque
Intersection notre regard se porte
Avec attention sur ce nouveau lac...
Et sur ce long sentier nos cœurs s’emportent.
Plainte
Ne pleure pas tant sur ton triste sort.
Ouvre ta porte, et regarde dehors
Toutes les choses qui t’entourent, et pleure
De ne pas avoir ouvert les yeux plus
Tôt, de penser encore au superflu.
Vois! La misère touche ta demeure.
Tu as tout, et eux n’ont quasiment rien.
Tu les regardes comme si c’était
Des chiens. Vomis ton bonheur un matin,
Qu’ils tendent leurs mains pour en profiter.
Alors peut-être te tairas-tu et
Cesseras-tu de te croire opprimé.
2/04/09 Vince